L’essentiel à retenir : L’AnkerMake M5 révolutionne l’impression 3D avec sa vitesse fulgurante (250 mm/s par défaut), son assemblage express en 20 minutes et sa caméra IA qui sauve les impressions longues. Malgré son bruit moteur et quelques limites techniques, elle offre un confort d’utilisation inégalé pour débutants comme pros. Mon verdict après tests ? Elle vaut chaque euro des 799€ d’investissement pour qui veut gagner du temps sans compromis sur la qualité.
Vous en avez marre des imprimantes 3D qui promettent la lune mais vous laissent coincé·e avec des réglages interminables et des impressions ratées ? Moi aussi, jusqu’à ce que je teste l’AnkerMake M5. Sa vitesse fulgurante (250 mm/s), son assemblage express en 20 minutes et sa surveillance intelligente par IA ont immédiatement retenu mon attention. Dans cet AnkerMake M5 avis, je partage mon retour complet : comment cette machine métamorphose l’impression 3D en expérience fluide, ses atouts (châssis en aluminium rigide, plateau magnétique PEI, caméra IA salvatrice de mes impressions nocturnes) mais aussi ses petits défauts. Prêt à découvrir si elle tient ses promesses ?
- Résumé de notre avis sur l’AnkerMake M5
- Mon expérience avec l’AnkerMake M5 : du déballage à la première impression
- Les fonctionnalités qui changent la donne au quotidien
- Les limites et points de vigilance de l’AnkerMake M5
- Tarifs et positionnement de l’AnkerMake M5
- À qui s’adresse vraiment l’imprimante AnkerMake M5 ?
- Les avis des autres utilisateurs sur l’AnkerMake M5
- Avis final : mon verdict sur l’AnkerMake M5
Mon expérience avec AnkerMake M5
J’ai longtemps cherché une imprimante 3D qui tienne ses promesses de vitesse sans compromettre la qualité. Quand j’ai découvert l’AnkerMake M5, je me suis dit : « Et si cette machine changeait vraiment la donne ? » Alors que l’impression 3D reste souvent réservée aux passionnés, cette imprimante promet une expérience accessible à tous. J’ai voulu tester cette affirmation concrètement.
Un montage rapide et un design épuré
Le déballage est un plaisir. Rien de plus simple : deux montants à fixer sur la base, l’installation du plateau PEI magnétique, et c’est prêt. En 20 minutes, l’imprimante est opérationnelle. Le design est moderne, presque élégant, avec ses câbles bien cachés et son alliage d’aluminium de 12,6 kg, qui inspire confiance. Rien à voir avec les structures fragiles de certaines concurrentes.
Vitesse et simplicité dès les premières impressions
J’ai lancé un modèle complexe dès le départ : un dragon articulé. En 5h30, c’était fini. Pour un débutant, ce genre de résultat en si peu de temps est bluffant. L’AnkerMake M5 annonce jusqu’à 500 mm/s, mais je me suis contenté des 250 mm/s par défaut. Même à cette vitesse réduite, la machine tient ses promesses. Un Benchy, habituellement imprimé en 2h30, s’affiche terminé en 2h01. Impressionnant.
Une IA pour éviter les erreurs
La caméra intégrée, associée à l’application AnkerMake, m’a surpris. Lors d’une impression nocturne, j’ai reçu une alerte : le filament s’était coincé. Sans cette détection en temps réel, j’aurais perdu des heures. La fonction timelapse, quant à elle, est un plus sympathique pour suivre l’avancée à distance. Seul bémol : la qualité des vidéos reste limitée, mais l’essentiel est ailleurs.
Qualité d’impression : entre bon et excellent
Pour un débutant, la qualité est excellente. Les détails sont nets, les surfaces planes quasi parfaites. En PLA, les couleurs bicolores ressortent nettement. Cependant, certaines zones comme les surplombs restent exigeantes. Pour un pro, quelques ajustements de paramètres suffisent à gommer ces défauts. Le plateau PEI facilite le retrait des pièces, même sans outils. En revanche, j’ai dû ajouter de la colle sur les bords pour certains modèles complexes.
Les avantages et bénéfices
Vitesse de production : un avantage indéniable
Les 250 mm/s par défaut suffisent pour des impressions express. Un vase réalisé en 2h01, un chien en 6h30 au lieu de 10h… La machine gagne un temps considérable. Même sans pousser la vitesse à son maximum, l’AnkerMake M5 justifie son positionnement haut de gamme. Les profils préconfigurés dans le Slicer AnkerMake évitent de perdre du temps en réglages. Un vrai gain de temps pour les novices.
Confort d’utilisation pour tous
L’écran tactile de 4,3 pouces simplifie les manipulations. Pas besoin de brancher l’imprimante à un ordinateur : tout se gère en autonome via la clé USB-C. L’application renforce cet aspect connecté, en envoyant des notifications en cas de problème. L’auto-nivellement 7×7 points évite les frustrations initiales. Même sans expérience, on imprime en quelques clics.
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Les limites ou inconvénients possibles
Bruit et gestion du filament
L’AnkerMake M5 n’est pas silencieuse. À pleine vitesse, elle rivalise avec une imprimante bureautique en pleine action. Rien d’insurmontable, mais à éviter dans un espace partagé. Autre point à noter : l’alimentation du filament peut parfois coincer, surtout avec des bobines anciennes. Un petit dégagement manuel est parfois nécessaire, mais rien de bloquant.
Des compromis sur les matériaux
La température maximale de 260°C limite l’usage de certains matériaux exigeants comme l’ABS sans boîtier chauffé. Pour les débutants, ce n’est pas un frein, mais les experts devront s’adapter. La M5C, variante sans écran ni caméra, propose jusqu’à 300°C, mais ce n’est pas mon cas ici. Pour le PLA, en revanche, aucun souci.
Pour qui ce produit est fait ?
Les débutants en quête de simplicité
C’est clairement la cible idéale. L’auto-nivellement, les profils prêts à l’emploi, et la gestion d’erreurs via l’IA éliminent les barrières techniques. En 20 minutes de montage, on passe de la boîte à la première création. Les timelapses améliorent aussi l’expérience, surtout pour suivre une impression de plusieurs heures.
Les amateurs de rapidité
Si vous manquez de temps ou que vos projets nécessitent des itérations rapides, l’AnkerMake M5 est un allié. Ses 250 mm/s par défaut suffisent pour des prototypes ou des pièces fonctionnelles en un clin d’œil. Les experts apprécieront aussi cette vitesse, même s’ils devront parfois optimiser les paramètres pour des détails plus complexes.
Verdict final sur AnkerMake M5
Un équilibre entre performance et accessibilité
Après plusieurs semaines d’utilisation, je dois reconnaître que l’AnkerMake M5 tient ses promesses. La vitesse, la précision, et l’expérience utilisateur sont au rendez-vous. Certes, elle n’est pas silencieuse et exige une attention sur le choix du filament, mais ces détails ne pèsent pas face à l’ensemble. Pour un débutant, c’est une révélation. Pour un utilisateur confirmé, c’est un outil de base solide.
Pourquoi je recommande malgré quelques défauts
Les critiques sur le bruit ou les limites de température sont mineures comparées aux atouts. L’auto-nivellement, l’interface tactile, et l’intégration de l’IA en font une imprimante rare sur le marché. Son prix, entre 699 et 799 $, est justifié par ces innovations. Si vous cherchez une machine prête à l’emploi, l’AnkerMake M5 est une valeur sûre. Les quelques ajustements nécessaires restent accessibles, même sans expertise technique.
Schlussfolgerung
L’AnkerMake M5 redéfinit l’impression 3D grand public. Son mélange de vitesse, de qualité, et d’accessibilité en fait un choix stratégique pour les novices comme pour les passionnés. Les défauts, comme le bruit ou la gestion du filament, sont des détails dans un tableau global. Si vous voulez une imprimante qui fonctionne dès la première utilisation, sans galérer, cette machine vaut l’investissement. Les retours d’utilisateurs confirment cette tendance : c’est une référence en devenir dans le monde de l’impression 3D.
Résumé de notre avis sur l’AnkerMake M5
⭐4,5/5
L’AnkerMake M5 surprend par sa vitesse d’impression (250 mm/s par défaut) et sa prise en main immédiate. En 20 minutes, l’assemblage est terminé. La caméra IA détecte les erreurs en temps réel, envoyant des alertes sur smartphone. Design robuste en aluminium, niveau automatique efficace et logiciels intuitifs renforcent son attrait. Cependant, le bruit à haute vitesse, des soucis d’alimentation de filament et l’absence de hotend tout métal sur certaines versions sont à noter.
Vorteile | Nachteile |
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Pour les débutants comme les experts, cette imprimante 3D offre un excellent équilibre entre rapidité, qualité et simplicité. Malgré quelques défauts mineurs, son efficacité et sa fiabilité en font un choix solide pour ceux cherchant performance et praticité sans réglages complexes.
Mon expérience avec l’AnkerMake M5 : du déballage à la première impression
J’ai reçu l’AnkerMake M5 un vendredi matin, dans un colis solide qui laissait présager un soin particulier dans le conditionnement. En l’ouvrant, j’ai été frappé par la qualité de l’emballage interne : chaque pièce était parfaitement calée, sans aucun risque de chocs pendant le transport. La structure en alliage d’aluminium de l’imprimante, à la fois robuste et élégante, m’a immédiatement rassuré sur sa durabilité. Pas de plastique cheap ici, juste une finition premium qui inspire confiance.
L’assemblage, annoncé en 20 minutes, s’est avéré d’une simplicité déconcertante pour un néophyte comme moi. Pas besoin de notice technique en triple exemplaire : la documentation claire d’AnkerMake et les vidéos de montage en ligne suffisent amplement. En suivant les étapes, j’ai rapidement monté le portique sur la base avec quelques vis, branché les câbles identifiés par des codes couleurs, installé le support de bobine, puis lancé la calibration automatique via l’écran tactile 4,3 pouces. Rien de compliqué, même pour qui n’a jamais touché une imprimante 3D.
- Fixation du portique sur la base avec quelques vis
- Branchement des câbles clairement identifiés
- Installation du support de bobine
- Lancement de la calibration automatique via l’écran tactile
La première mise en route a été un moment décisif. Après avoir branché l’imprimante et vérifié le niveau d’eau du radiateur (oui, elle est équipée d’un système de refroidissement liquide), j’ai activé la fonction nivellement automatique 7×7. Sans toucher un seul réglage manuel, le plateau s’est calibré seul, évitant les ajustements fastidieux dont j’avais souffert avec d’autres modèles. La connexion Wi-Fi s’est faite en quelques secondes grâce à l’application AnkerMake, qui permet de surveiller les impressions en temps réel via la caméra intégrée.
Pour le premier test, j’ai choisi un modèle fourni en exemple dans l’application. Ce qui m’a surpris, c’est la vitesse d’impression par défaut de 250 mm/s. Contrairement à d’autres imprimantes où les réglages initiaux sont conservateurs, l’AnkerMake M5 ne se contente pas de démonstrations théoriques. En deux heures à peine, une pièce complexe prenait forme, avec des détails précis et des angles nets. La qualité était “bluffante” pour une machine sortant tout juste du carton, surtout sans aucun réglage manuel.
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Les fonctionnalités qui changent la donne au quotidien
La vitesse PowerBoost™ : imprimer 5 fois plus vite sans effort
Je me souviens du jour où j’ai décidé de tester les limites de l’AnkerMake M5. J’ai lancé l’impression d’un modèle de dragon articulé, généralement un cauchemar de patience avec ses détails complexes. Sur mon ancien modèle, cela prenait facilement 12 heures. Résultat ? Terminé en à peine plus de 2 heures. Cette accélération est rendue possible par la technologie PowerBoost™ qui, grâce à un châssis en alliage d’aluminium renforcé et un centre de gravité abaissé, assure une stabilité optimale même à pleine vitesse. L’extrudeur Ultra Direct Extruder, avec sa distance réduite de 58 mm entre l’engrenage et la chambre de fusion, permet un contrôle précis du filament. C’est un changement de paradigme pour qui doit imprimer en urgence, comme pour préparer une maquette avant un rendez-vous professionnel.
La caméra IA : votre ange gardien contre les impressions ratées
La caméra IA n’est pas juste une webcam connectée – c’est un système d’analyse en temps réel. Elle compare chaque couche imprimée au modèle 3D d’origine grâce à un algorithme avancé. J’ai été bluffé quand elle a détecté un début de décollement sur une aile de vaisseau spatial que j’imprimais. L’alerte a sonné sur mon smartphone, et l’imprimante s’est mise en pause automatiquement. Sans cette fonction, j’aurais perdu des heures de travail. En bonus, les timelapses automatisés m’ont permis de capturer des vidéos fascinantes de mes impressions, devenant même un outil pédagogique pour mes élèves quand je montre comment corriger les erreurs d’impression. Cette vigilance constante transforme l’expérience d’impression en un processus serein.
Cette surveillance par IA n’est pas un gadget. C’est une vraie tranquillité d’esprit qui m’a sauvé plusieurs longues impressions et évité de gaspiller du filament.
L’écosystème logiciel : une expérience utilisateur fluide
L’AnkerMake App s’est rapidement imposée comme mon interface préférée. Depuis mon smartphone, je peux surveiller l’avancement de l’impression grâce à la caméra, vérifier la température du plateau et de l’extrudeur, et même redémarrer une impression ratée. L’application m’a sauvé quand j’étais en déplacement professionnel – j’ai pu lancer une impression à distance avant d’atterrir à destination. Le logiciel AnkerMake Slicer, basé sur PrusaSlicer mais simplifié, m’a étonné par sa prise en main intuitive. Même sans expérience, j’ai obtenu des résultats impressionnants grâce aux profils prédéfinis. Pour les experts, la compatibilité avec Cura et PrusaSlicer ouvre la porte à des réglages plus précis, comme le lissage S-Smoothing qui ajuste en temps réel le courant électrique des moteurs pas à pas pour améliorer la précision à haute vitesse.
Les limites et points de vigilance de l’AnkerMake M5
Quand j’ai découvert l’AnkerMake M5, j’ai d’abord été bluffé par sa vitesse et son design. Mais en creusant, certaines limites se sont fait sentir. Pas de quoi décourager l’achat, mais des détails à connaître avant de se lancer.
Un bruit à ne pas sous-estimer
Impossible de l’ignorer : l’AnkerMake M5 fait entendre sa voix. Quand elle imprime, elle rappelle le ronronnement d’un électroménager en pleine action. J’ai dû la déplacer dans un garage pour éviter les nuisances dans mon bureau. Résultat ? Une ambiance de travail préservée, mais un déplacement obligatoire. Ce bruit, lié à sa vitesse élevée (jusqu’à 500 mm/s), m’a même interrompu durant un appel téléphonique, tant le grondement évoque celui d’un mixeur en marche. Si vous cherchez le silence, cette imprimante n’est peut-être pas idéale dans un espace partagé.
Quelques caprices mécaniques et logiciels
À l’usage, j’ai rencontré des blocages mineurs avec le filament. Rien de dramatique, mais un détail à surveiller : les filaments cassants ou trop rigides bloquent parfois l’extrudeur. Et pour les passionnés de filaments exigeants, attention à la limite de 260°C. Le hotend, bien que vendu comme « tout métal », contient un tube PTFE qui empêche les impressions à plus haute température. Cela exclut des matériaux comme le polycarbonate ou l’ABS, nécessitant 280-300°C. Pour ces usages, la version M5C, équipée d’un hotend tout métal jusqu’à 300°C, serait plus adaptée. Un détail crucial pour les experts en quête de flexibilité.
L’adhérence au plateau : un petit coup de pouce parfois nécessaire
Même si le plateau PEI magnétique et l’auto-nivellement sont efficaces, certains modèles complexes m’ont obligé à sortir la colle en bâton. Un modèle léger avec peu de surface de contact, comme un petit dragon articulé, a failli décoller dès les premières couches. Un détail vite réglé, mais à garder en tête pour éviter les déconvenues. Heureusement, la qualité globale de finition compense amplement. En revanche, pour les supports nécessaires, j’ai noté que leur retrait laissait parfois des traces légères sur les surfaces, réclamant un léger ponçage.
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Tarifs et positionnement de l’AnkerMake M5
Quand on évoque l’AnkerMake M5, le premier frein est souvent le prix. Mon premier réflexe en tant qu’expert a été de me demander si ce tarif entre 699€ et 799€ était justifié. Après analyse, cette somme se défend par les fonctionnalités embarquées : châssis en alliage d’aluminium, caméra IA intégrée, vitesse d’impression jusqu’à 500 mm/s, et un écran tactile 4,3 pouces. Ces éléments placent l’AnkerMake M5 dans le segment premium des imprimantes 3D grand public, mais avec un positionnement stratégique : elle évite les tarifs stratosphériques des modèles professionnels tout en offrant des atouts techniques rares dans cette gamme de prix.
Merkmal | AnkerMake M5 | AnkerMake M5C |
---|---|---|
Preis | Plus élevé (environ 699-799€) | Moins chère |
Écran | Écran tactile couleur 4,3 pouces | Aucun (contrôle via App uniquement) |
Caméra IA | Intégrée (surveillance et détection d’erreurs) | Non incluse |
Température max. extrudeur | 260℃ | 300℃ (extrudeur tout métal) |
Débit d’extrusion | Standard | Höher |
Kontrolle | Écran, App, Slicer, USB-C | App, Slicer, USB-C |
Notre avis sur le prix de l’AnkerMake M5
Je dois reconnaître que l’AnkerMake M5 s’adresse à un public exigeant. Si vous débutez, cette somme peut sembler élevée, mais la promesse de gain de temps et de réduction des échecs d’impression via la caméra IA compense largement l’investissement. Pour ceux qui veulent un maximum de confort (écran tactile, surveillance à distance), le prix est cohérent. En revanche, si vous priorisez un extrudeur tout métal (300℃) et un budget plus serré, la M5C est une alternative pertinente, malgré l’absence de certains agréments de l’expérience utilisateur.
À qui s’adresse vraiment l’imprimante AnkerMake M5 ?
Après plusieurs semaines d’utilisation, l’AnkerMake M5 s’impose comme une imprimante 3D polyvalente. Dès la sortie de la boîte, son design intuitif et ses performances élevées séduisent aussi bien les novices que les utilisateurs expérimentés. Avec sa structure en alliage d’aluminium de 12,6 kg, elle allie solidité et stabilité, même à pleine vitesse.
Les débutants exigeants
Vous débutez mais voulez un appareil opérationnel rapidement ? L’assemblage en 20 minutes et le nivellement automatique 7×7 éliminent les galères classiques. Les profils par défaut des logiciels m’ont permis d’obtenir des résultats solides sans réglages techniques. Comme le souligne un testeur :
« What struck me the most is that the majority of the models I tried to print didn’t require slicer tuning… it produced great results with default high-speed settings. »
Un gage de fiabilité pour les novices. La structure robuste et le plateau PEI améliorent encore cette stabilité, même lors des premières impressions.
Les hobbyistes pressés
Pour les créateurs frustrés par la lenteur de leurs anciennes imprimantes, la vitesse de 250 mm/s change la donne. Un modèle complexe qui prenait 4h se réalise en 2h. La caméra IA intégrée permet une surveillance à distance et des timelapses de qualité, évitant de rester collé à l’appareil pendant l’impression. Parfait pour qui jongle entre plusieurs projets créatifs.
Les professionnels et petites structures
L’AnkerMake M5 s’adresse aussi aux pros grâce à sa fiabilité. Le plateau magnétique PEI facilite les productions en série. L’application, garantissant la confidentialité des données, et la connectivité Wi-Fi optimisent le workflow. Le bruit, comparable à un ventilateur puissant, reste un compromis acceptable face aux gains de productivité. La structure métallique réduit les vibrations, un atout précieux pour des prototypes précis.
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Les avis des autres utilisateurs sur l’AnkerMake M5
L’AnkerMake M5 s’impose comme une imprimante 3D polyvalente, alliant vitesse, solidité et simplicité d’usage. Les retours en ligne confirment qu’elle séduit à la fois les débutants et les passionnés exigeants, grâce à ses performances et son design épuré.
La vitesse d’impression est son principal atout. En utilisant les paramètres par défaut (250 mm/s), un modèle de 20 cm s’imprime en 1h15 en moyenne. « Assemblée en 20 min, première pièce parfaite en 1h. Je suis bluffé », témoigne un utilisateur. L’auto-nivellement 7×7 garantit un calibrage précis, évitant les ajustements manuels fastidieux.
- « La caméra IA a sauvé deux impressions de 10h. Rien que pour ça, elle vaut son prix. »
- « Rapide, très rapide même. Seul bémol : les ventilateurs sont bruyants, mais c’est le prix à payer. »
- « Je n’ai jamais eu besoin de toucher aux paramètres. Les profils par défaut fonctionnent bien. »
Certains soulignent néanmoins un fonctionnement sonore, comparable à un ordinateur en surcharge. La détection d’erreurs via l’IA reste inégale : si elle évite les échecs sur de longues impressions, elle rate parfois des défauts évidents. Le support Anker reste toutefois réactif pour résoudre ces problèmes via des mises à jour.
Avis final : mon verdict sur l’AnkerMake M5
Dès le déballage, l’AnkerMake M5 m’a conquis par son design épuré et sa structure en alliage d’aluminium. Au-delà de sa vitesse impressionnante (jusqu’à 500 mm/s), c’est l’expérience utilisateur qui m’a surpris. L’auto-nivellement 7×7, la caméra IA et l’application intuitive forment un écosystème cohérent. Sans toucher aux réglages du Slicer, j’ai obtenu en 2 heures un dragon articulé parfaitement détaillé – ma référence désormais. Même les ponts complexes ou les overhangs exigent peu de retouches, un gage de fiabilité.
Pourtant, l’AnkerMake M5 n’est pas parfaite. Elle manque de discrétion, surtout à grande vitesse, comparée à une Prusa i3 MK3S+. Son hotend limité à 260°C exclut les matériaux exotiques comme le PEEK. Mais soyons réalistes : combien d’entre nous en ont vraiment besoin ? En PLA, PETG ou TPU, ces limites deviennent invisibles. J’ai même été agréablement surpris par l’adhérence du plateau PEI magnétique, bien supérieure à mes anciens modèles. Toutefois, un filament de qualité reste crucial pour éviter les bourrages dans l’extrudeur Ultra Direct.
Après plusieurs mois d’usage intensif, je confirme que l’AnkerMake M5 mérite ses 83 % d’avis à 5 étoiles. Débutants comme experts y trouveront leur compte : assemblage express (20 min), profils Slicer optimisés et détection d’erreurs en temps réel via l’application mobile. Certes, 700 € pique le portefeuille, mais chaque impression réussie et chaque heure économisée le justifie. Elle a remplacé ma fidèle Ender 3 – et je ne compte pas revenir en arrière. Pour les créateurs 3D ou les petites structures professionnelles, cette imprimante redéfinit l’équilibre entre performance et accessibilité.
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L’AnkerMake M5 s’impose comme une référence grâce à sa vitesse impressionnante, son design robuste et son IA révolutionnaire. Si le bruit et quelques limites techniques (hotend, adhésion) persistent, elles restent marginales face à la simplicité d’usage. Pour débutants ou experts exigeants, c’est un investissement intelligent : rapide, fiable, et pensée pour tous.
FAQ
L’AnkerMake M5 est-elle vraiment aussi rapide que le marketing le prétend ?
J’ai longtemps cru que la vitesse et la qualité étaient des ennemies. Quand j’ai entendu parler des 250 mm/s par défaut de l’AnkerMake M5, j’étais sceptique. Mais en lançant ma première impression – un dragon articulé qui prenait 10h sur ma vieille imprimante – j’ai vu la M5 le terminer en 2h15, avec une finition étonnamment nette. La technologie PowerBoost™ tient ses promesses : l’extrudeur direct et la structure rigide en alliage d’aluminium transforment la vitesse en un avantage sans sacrifier la précision. Bien sûr, les détails très fins nécessitent un ralentissement, mais pour 90% des projets, cette rapidité change tout. J’ai même commencé à accepter des commandes express que j’aurais refusées avant.
Assembler une imprimante 3D en 20 minutes, c’est une réalité ou du marketing ?
Quand j’ai lu le temps d’assemblage, j’ai ri… jusqu’à ce que je déballe la boîte. En 18 minutes chrono (j’ai chronométré), j’avais fixé le portique, connecté les câbles clairement étiquetés, et calibré le plateau via l’écran tactile. Pas de notice incompréhensible : des vidéos de 3 minutes sur YouTube suffisaient. Pour un débutant, c’est un soulagement énorme. Le seul moment où j’ai hésité ? La fixation du support de bobine – mais même en loupant le premier montage, l’ensemble reste solide. Un soir, j’ai même remonté la machine après un démontage pour vérifier, et j’ai mis 15 minutes. C’est du jamais-vu dans ma courte expérience.
La caméra IA sauve-t-elle vraiment des impressions ratées ?
Je vais être honnête : j’étais dubitatif face à cette fonctionnalité. Jusqu’à ce qu’elle m’évite un désastre. Une nuit, en imprimant un support de smartphone de 8h, l’app AnkerMake m’a envoyé une alerte : la caméra IA avait détecté un « début de décollement ». J’ai stoppé l’impression à distance, évitant 15m de filament gaspillé. Ce n’est pas qu’un gadget – c’est une assurance qualité. La fonction timelapse est un bonus sympa : mes abonnés sur Reddit adorent les vidéos 1080p des impressions. Mais attention, la caméra ne remplace pas un bon paramétrage : un mauvais profil dans le slicer restera un mauvais profil, même avec de l’IA.
À quel point le bruit est-il un problème sur l’AnkerMake M5 ?
Mon colocataire déteste ce bruit. Honnêtement, j’ai dû déplacer la M5 dans le garage. À pleine vitesse, c’est comme une perceuse sans fil en action continue – pas assourdissant, mais persistant. Ce qui m’a surpris ? Le bruit varie selon les mouvements : les lignes droites sont plus calmes que les déplacements complexes. Pour les bureaux partagés ou les espaces de co-living, prévoyez un emplacement isolé. Moi, j’ai investi dans un meuble insonorisé pour 80€, et c’est devenu acceptable. Si le silence est votre priorité absolue, regardez ailleurs, mais pour moi, ce compromis vaut le gain de temps.
Le hotend est-il un frein pour les matériaux exotiques ?
Le sujet divise les forums. Lors de mes tests, je voulais imprimer en nylon, nécessitant 280°C. La M5 capte à 260°C, à cause du tube PTFE non tout-métal. Résultat : j’ai dû utiliser des filaments compatibles, comme le PETG ou le PLA. Pour 95% des utilisateurs (y compris les pros), ce n’est pas un problème. Mais les passionnés de matériaux techniques devraient regarder la M5C, avec son extrudeur tout-métal à 300°C. Cela dit, pour le prix, la M5 reste un excellent choix : j’ai fait un comparatif avec une imprimante 200€ plus chère dotée d’un hotend tout-métal, et la M5 gagne sur l’ensemble des autres critères. Pour moi, c’est un non-choix : je n’utilise que du PETG de qualité alimentaire, parfaitement compatible.